background
logo
Faire
un don

Un grand merci aux mécènes des États de l’Air 2024

La 5e édition des États de l’Air, organisée par ENAC Alumni, le 3 octobre 2024 à la DGAC, a de nouveau suscité l’intérêt d’entreprises mécènes qui ont souhaité renouveler leur soutien à l’organisation de l’événement via la Fondation ENAC.

Les États de l’Air ont une double ambition :

  • Regrouper des professionnels éminents de l’industrie aéronautique pour recueillir leur vision de ce que pourrait devenir le transport aérien dans les prochaines années mais aussi favoriser les échanges grâce à des tables rondes et conférences.
  • Proposer des conférences plus techniques dans une logique de maintien de compétences, au travers de sujets d’actualité tels que la cybersécurité, la règlementation, ou encore les méthodes agiles…

Merci aux mécènes qui soutiennent l’organisation de cette journée : Avico, Accenture, Air Caraïbes – French bee, Arthur D. Little, OSAC-APAVE, Time to Fly, Sopra Steria, CGX et Open Airlines.

« Nous avons gardé un affect fort pour l’ENAC, et nous participons à l’organisation et nous soutenons les États de l’Air depuis la première édition, car les conférences et ateliers abordent avec pertinence et technicité nombre de sujets d’actualité importants pour notre métier. Cette année, je m’en voudrais de louper les interventions sur l’IA, la décarbonation et les nouvelles mobilités. Ces thèmes seront abordés par des professionnels de notre industrie, et iront au-delà d’une approche « grand public », dans un dialogue « Pro 2 pro ». J’espère échanger sur les thèmes d’actualité de notre profession, tant pendant les conférences que pendant les pauses, et rencontrer aussi bien des professionnels que j’apprécie déjà que d’autres que je ne connais pas encore ». Gilles Gompertz, ingénieur ENAC et directeur général – Groupe AVICO.

« C’est un renouvellement de soutien, car nous sommes partenaire depuis la création des États de l’Air. Une évidence pour nous que de contribuer à cet espace-temps dédié ou l’on se pose pour écouter, échanger et s’inspirer afin d’apporter en tant que communauté, éclairages et solutions aux enjeux qui sont communs.
Pour cette édition, 2 thématiques se détachent :

  • l’état des lieux de la décarbonation du transport aérien : Il est en effet fondamental d’apprécier notre trajectoire commune versus les ambitions qui ont été fixées.
  • Les nouvelles mobilités : car elle représentent un gisement d’usages qu’il faut encore apprécier et réussir à mettre en opérations.

J’attends de cette édition, un temps d’échange, une respiration et la genèse de nouvelles relations, idées et projets pour aller de l’avant. »Marc CHIESA, promotion IENAC 94, option Informatique et Trafic Aérien, PDG – CGX AERO

« Nous avons 90 collaborateurs et beaucoup viennent de l’ENAC. Comme nous avons une forte croissance, nous avons des besoins en recrutement plus forts, et l’ENAC est un grand vivier de compétences et d’expertises. Nous souhaitons aussi être associés à votre École car nous partageons une vision commune de contribuer activement aux enjeux de décarbonation de la filière aéronautique. Ces enjeux démontrent d’autant plus la nécessité d’attirer les talents de demain pour innover et trouver des solutions ensemble et réaliser l’objectif de zéro émission à horizon 2050.

Cette année, je participe à la table ronde autour de l’utilisation de la data et de l’intelligence artificielle au service de l’aviation. Je pense que l’accélération des innovations technologiques et du Big Data va de plus en plus contribuer aux enjeux environnementaux de demain. C’est un aspect de la décarbonation qui est moins connu que l’avion du futur, mais qui a l’incomparable avantage d’être disponible dès aujourd’hui. Je suis notamment là pour faire connaitre plus largement ce levier court terme.

Les États de l’Air sont toujours un moment d’échange intéressant, avec un panel prestigieux. La décarbonation est un enjeu collectif, j’attends donc du partage de connaissance avant tout, qu’on travaille sur une feuille de routes et des solutions. Nous sommes dans une période où nous avons besoin de fédérer tout le monde, et d’additionner les idées et solutions ». Alexandre Feray – Founder & CEO Open Airlines

« En tant que Partner chez Arthur D. Little, j’accompagne les dirigeants et les investisseurs dans les secteurs du transport aérien, de l’aéronautique, de la défense et des infrastructures dans leur prise de décision et leurs projets de transformation, que ce soit sur des problématiques de développement, de négociation d’accord stratégiques,  d’allocation de ressources ou de performance. J’ai eu la chance de pouvoir observer et développer de nombreuses bonnes pratiques dans des environnements extrêmement variés car j’ai pu travailler pour des clients dans plus de 25 pays… et que mon épouse et mes trois enfants soient compréhensifs pour tous ces voyages !

Arthur D. Little sert les acteurs du transport aérien français depuis plus de 20 ans. Nous avons le privilège d’aider le secteur à anticiper les tendances lourdes et les ruptures à venir, à innover et à se transformer. Nous le faisons sous de multiples formes : lors de nos missions de conseil bien sûr, mais aussi au travers d’études prospectives que nous réalisons en interne et partageons avec nos clients, ou encore en participant à l’Université du Transport Aérien qui forme les cadres à haut potentiel du secteur. Les Etats de l’Air, qui rassemble l’ensemble des parties prenantes de l’industrie, sont un forum d’échange et de réflexion qui s’inscrit parfaitement dans notre volonté d’accompagner le transport aérien français à définir et respecter un plan de vol robuste et ambitieux.

La mise en lumière des challenges et des perspectives de maillons clés pour la performance de l’écosystème, mais souvent mis au second plan, comme la MRO ou l’assistance en escale me semble très prometteuse ; faire le tri entre « mythe » et « réalité pratique » sur les sujets de la décarbonation ou de l’intelligence artificielle, à l’aube de ces deux révolutions majeures, est aussi un sujet clef pour engager le secteur sur des voies de transformations efficaces et efficientes.

J’attends de cette édition que les points de vue se confrontent de manière constructive, que le débat soit animé et que des éclairages nouveaux soient apportés, que le secteur se rassemble avec enthousiasme et que chaque partie prenante puisse dépasser ses propres intérêts pour contribuer à atteindre l’optimum du système et faire face aux défis de demain ». Mathieu Blondel, Partner – Arthur D Little

« Time to Fly est une société de conseil spécialisée dans l’aérien, avec des axes majeurs qui sont la sécurité des vols, les systèmes de gestion et le développement durable des acteurs, compagnies aériennes, aéroports, constructeurs ou ateliers de maintenance. Nous sommes maintenant présents dans le Pacifique, à Malte et en France. Notre écosystème se compose aussi d’un organisme de formation Time to learn, qui offre une ingénierie de formation innovante sur les mêmes domaines et Time to Work une offre de coworking permettant de créer une communauté d’entreprises engagées autour de nous.

Cela fait plusieurs années que nous apportons notre soutien aux états de l’Air, par mécénat mais aussi en participant à des tables rondes, et cela nous semble naturel car c’est une formidable opportunité pour que les acteurs de l’aviation se retrouvent et échangent sur les sujets et enjeux majeurs. L’idée aussi est de positionner le monde du conseil et de la formation comme un domaine clé pour l’aérien. Je pense en effet que des sociétés comme la notre apportent un regard plus homogène et pragmatique de la situation sur le terrain et qu’il est important que l’on fasse entendre notre voix.

La décarbonation de l’aérien est un thème majeur et la table ronde à laquelle nous participons donne une bonne tendance des actions en cours et du chemin qu’il reste à parcourir. Mais clairement tous les thèmes sont intéressants, que ce soit l’économie post-covid, l’IA ou encore les études d’impact.

Pour moi l’objectif de notre participation à l’événement est double, avoir une photographie à aujourd’hui des enjeux majeurs auxquels nous devons faire face, mais aussi donner une visibilité aux sociétés de conseils et de formation et montrer que nous avons un rôle majeur à jouer face à ces enjeux ». Pascal Ravel Président et fondateur de Time To Fly

« Sopra Steria Aeroline est un acteur majeur de la transformation digitale de l’industrie et les opérations aéronautiques et ce auprès de toutes les parties prenantes du secteur, avionneurs, OEM, prestataires de services de la navigation aérienne, compagnies aérienne, aéroports et bien d’autres. L’ouverture étant une valeur essentielle de Sopra Steria, il est évident pour nous de soutenir un événement majeur comme les États de l’Air qui vise à partager des sujets d’importance de l’aviation, couvrant toute la chaîne de valeur aéronautique française et ce depuis 2019.

Notre lien étroit avec l’ENAC et la communauté d’anciens élèves de l’ENAC présents dans nos effectifs ne pouvait que finir de nous convaincre d’apporter notre soutien aux Etats de l’Air 2024.

Tous ces sujets nous intéressent car la technologie et la digitalisation sont au cœur de chaque étape de la chaîne de valeur de l’aérien. Plus particulièrement, l’intelligence artificielle, la maintenance avion, les nouvelles mobilités et les stratégies pour réduire l’impact climatique et environnemental de l’aérien sont au cœur de notre expertise et de nos ambitions.

J’attends de l’événement qu’il nous apporte des éclairages spécifiques sur ces sujets clés, nous permette d’échanger avec les autres professionnels du secteur et apporte notre regard sur l’évolution et la transformation du secteur en France. Aussi, c’est un levier de rayonnement clé pour nous à la fois auprès de l’industrie comme l’écosystème académique français ». Meriem Oubelkass directrice de la Business line Air Traffic Management chez Sopra Steria Aeroline.


« Je pense qu’il est important de se réunir en tant qu’acteurs de l’industrie aérienne, afin de faire un état des lieux post covid, discuter de nos avancées sur la question environnementale, les nouvelles innovations du secteur ou encore les nouvelles études de consommation. Nos deux compagnies sont d’ailleurs partenaires de la CHAIRE Travel qui vise à étudier et comprendre les nouvelles tendances de consommation et attentes du grand public. Il est primordial pour nous de bien comprendre nos clients et le marché si nous voulons rester compétitifs.

Concernant les Etats de l’Air 2024, la question environnementale est bien sûr cruciale pour nous car les nouvelles générations sont plus soucieuses et à juste titre. Ce sujet prend d’ailleurs de plus en plus de place chaque année dans notre industrie qui ne ménage pas ses efforts afin de se moderniser. Nous menons d’ailleurs différentes actions afin de limiter les émissions de nos deux compagnies. L’une de ces actions majeures est d’investir dans les derniers Airbus A350, afin d’avoir une flotte moderne et moins polluante. Nous attendons donc de cet événement qu’il soit riche en échanges qui nous permettront de partager les best practices du secteur. Chez French bee et Air Caraïbes, nous pensons qu’en travaillant tous ensemble, nous développerons et améliorerons aussi notre secteur et avons tous à y gagner. Un événement comme les états de l’air permet des échanges constructifs qui peuvent mener à des synergies et des partages de savoir afin de mieux décarboner notre industrie mais aussi de développer les services pour les personnes à mobilité réduite par exemple. « Christine Ourmières-Widener, présidente d’Air Caraïbes et French bee, filiales du groupe Dubreuil.